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Prix d’un appel local
Prix d’un appel local

Contrairement à ce qu’affirme une enquête récente de 60 millions de consommateurs jetant le discrédit sur les contrats d’assurance obsèques, MUTAC défend leur utilité et présente point par point des éléments concrets et tangibles pour favoriser le discernement des consommateurs. Comme ses valeurs et son devoir de conseil envers ses adhérents le lui imposent également, lorsqu’il s’agit d’évaluer les produits d’assurance obsèques qui leur sont le mieux adaptés.

Cotiser, c’est quoi ?

L’enquête sous-entend qu’il faudrait généraliser quelques cas isolés. Ceux-ci affirmeraient qu’il est fréquent de cotiser plus que le montant du capital qui sera disponible pour financer les obsèques. Concrètement, ces cas, s’ils existent réellement, ne sont pas légions et cohabitent avec au moins autant de cas inverses. À savoir par exemple, le cas de M. G., adhérent de 63 ans, assuré pour un capital de 5 000 €. En cotisation viagère – signifiant qu’il s’était engagé à cotiser jusqu’à la date de son décès – le montant de ses cotisations s’élevait à 24,20 €/mois ou
290,40 €/an. M. G. est décédé au bout de 5 ans. MUTAC a versé les 5 000 € prévus au contrat, alors que le montant des cotisations versées ne s’élevait qu’à 1 452 €. En cas de décès par accident, comme le prévoit le règlement mutualiste*, MUTAC aurait versé 10 000 € pour le financement des obsèques de M. G.

Cotiser, c’est avant tout choisir la formule la mieux adaptée – car chaque budget est unique – pour une seule finalité : couvrir ses obsèques. Si la mort est malheureusement certaine pour chacun d’entre nous, la date de sa survenance est en revanche inconnue. En fonction de cette date de survenance, le montant versé par l’adhérent sera soit inférieur soit supérieur au capital assuré. Tout est donc lié au choix qu’il aura fait en fonction du budget qu’il peut consacrer à sa couverture obsèques.

Fournir les documents, c’est d’abord une obligation et une sécurité

« Documents pas toujours faciles à fournir » se désole 60 millions de consommateurs. MUTAC ne demande pas 10 mais seulement 2 documents pour régler l’entreprise de pompes funèbres : l’acte de décès et la facture d’obsèques.  La loi est la même pour tous rappelle MUTAC, dont la solution à ce stade s’inspire du meilleur de notre modèle social à la française : Le tiers payant obsèques national.

Le versement du capital dans un délai aussi court que possible est une attente commune à tous. Le tiers payant est ainsi proposé en priorité à tous les adhérents et plus de 88 % d’entre eux en ont bénéficié en 2018. Il évite totalement l’avance des frais par les proches, le délai de paiement est donc nul dans ce cas. C’est un confort et un réconfort reconnu de tous.

La solution doit être adaptée

Que préconise 60 millions de consommateurs aux personnes souhaitant s’affranchir des questions liées à leurs obsèques ? « Un bon placement ? » Précieuse trouvaille !

MUTAC défend le contrat obsèques comme solution adaptée. Par leur seule présence dans ses garanties, les services de l’assistance funéraire en attestent. L’assistance funéraire est incluse dans toutes les garanties MUTAC, sans cotisations supplémentaires, et on aurait bien du mal à la trouver en ouvrant un Livret A, dont ce n’est précisément ni l’objet ni l’objectif. L’exemple le plus parlant est le rapatriement du corps. Cette prise en charge de l’assistance funéraire MUTAC incarne l’un des soucis majeurs qui sont évités aux proches, autant du point de vue financier qu’administratif. Un rapatriement du corps, de Villeurbanne (69) à Bourguoin-Jailleu (38), a été pris en charge récemment par MUTAC pour un montant de 2 292,03 €, sans impacter le capital obsèques que l’adhérent avait souscrit.

Pour s’éviter les « pertes », conseille 60 millions de consommateurs, il faut donc que les proches disposent d’un « placement sûr ». Soit. Non seulement il devra couvrir les frais d’obsèques, mais également les frais annexes comme le rapatriement du corps dont l’exemple cité plus haut révèle la charge financière qu’il peut faire peser sur une famille. Il faudra aussi que cette « épargne » soit suffisante et cela quel que soit le moment où le décès survient.

Les solutions de placements sont innombrables mais pas toujours adaptées à la volonté particulière et encadrée de couvrir ses frais d’obsèques, en évitant des dépenses à ses proches. La loi garantit, par l’article L2223-33-1 du Code général des collectivité territoriales, que le capital d’un contrat obsèques ne pourra être utilisé à des fins étrangères au financement des obsèques. En d’autres termes, l’argent cotisé est destiné exclusivement au financement des funérailles, c’est une garantie et une sécurité qui n’est pas applicable à tous les placements. Cette sécurité acquise, les conseillers mutualistes de MUTAC, formés spécialement aux assurances, accordent le temps nécessaire aux futurs adhérents pour trouver la meilleure solution. Comment cela se traduit-il ? Simplement en mesurant ensemble les risques sur la situation budgétaire et les volontés d’obsèques pour que le contrat signé soit celui qui convient à chaque situation.

 (*) MUTAC double le capital en cas de décès par accident